Rebellion had first flared in August 1792, but had been immediately quelled. Despite not being specialists in the subject, historians such as Pierre Chaunu have put all the weight of their great moral authority behind the development of an anathematizing discourse, and have dismissed any effort to look at the subject reasonably. Although La Chapelle-Basse-Mer served him repeatedly as a reference point, Secher illustrated his arguments with wide citations from national and regional archives to establish a broader frame of reference. Ils laissent alors une petite garnison sur place et regagnent leurs cantonnements initiaux, mais le 7 mai la colonne de Laborie est attaquée par surprise et mise en déroute par les troupes de Charette à Saint-Colombin[96],[97]. Les Vendéens se portent alors sur le camp des Quatre-Chemins qui est pris d'assaut le 11 décembre. The Vendeans were no more blameless than were the republicans. Plusieurs vagues de renforts affluent ensuite, avec notamment 15 bataillons parisiens et la Légion germanique en avril, l'Armée de Mayence en août et deux colonnes de l'Armée du Nord en novembre[65]. Les communautés se sentent donc spoliées et en tiennent rigueur aux politiques[19]. Sapinaud, revenu du nord de la Loire, tente également de reformer l'armée du Centre. De même, les juges de paix qui ont choisi le royalisme sont gardés en place[431]. [59] This conflict originated in the 19th century between two groups of historians, the Bleus, named for their support of the republicans, who based their findings on archives from the uprising and the Blancs, named for their support of the monarchy and the Catholic Church, who based their findings on local oral histories. Il rappelle que l'un et l'autre excluent les femmes, les enfants et les vieillards (auxquels le décret du 1er octobre 1793 ajoute les hommes sans armes), qui doivent être protégés. Ils viennent des villes et des petits bourgs pour plus de la moitié. Ce dernier, ayant également joint sa troupe à celle de Joly est cependant mis en fuite par Turreau et Cordellier à la forêt de Gralas. [30] On this occasion it was rumored that female prisoners were stripped and tied up with men before being sent to their deaths, the so-called Republican Marriage. Début avril, les colonnes se mettent en marche avec pour objectif de pousser les rebelles vers la mer. Jean-Clément Martin, La Terreur, part maudite de la Révolution, coll. Le terme est défini officiellement par l'assemblée générale des Nations unies dans l'article 2 de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, adoptée le 9 décembre 1948[360]. À la recherche de chefs militairement compétents, les insurgés font appel aux nobles locaux, souvent anciens officiers de l'armée royale, mais la plupart montrent peu d'enthousiasme pour l'insurrection et sont entraînés de force[60],[61],[62]. À Angers, les représentants en mission Hentz et Francastel sont confrontés, comme Carrier à Nantes, à l'arrivée de milliers de prisonniers vendéens capturés lors de la Virée de Galerne[165],[166]. Le 25 juin, une flotte britannique arrive en vue de la presqu'île de Quiberon, en Bretagne, et débarque deux jours plus tard à Carnac une armée d'émigrés qui est accueillie par plusieurs milliers de chouans[257]. Le 18 mars, elle prend Chantonnay aux insurgés, puis avance vers Saint-Fulgent[52]. En 1986, Reynald Secher fait paraître La Vendée-Vengé, Le génocide franco-français[348], ouvrage dans lequel il étudie les rapports entre la Révolution et les Vendéens depuis 1789 et s'efforce de faire le bilan de la répression de l’insurrection vendéenne, en tentant d'obtenir le rapport entre les naissances dans les années 1780 et celles dans les années 1800 et en essayant de répertorier les destructions et reconstructions. Pendant la traversée, le général Bonchamps, alors mourant, parvient à empêcher le massacre de 5 000 prisonniers républicains que ses hommes voulaient fusiller[122]. Cependant aucun navire britannique n'attend les royalistes, la ville se défend et l'assaut est un échec complet. [73] The measure was strongly denounced by a group of leftist French historians as an attempt to use history to justify political extremism. Le général Alexandre Dumas, nommé commandant en chef de l'armée de l'Ouest le 16 août 1794, arrive en Vendée le 7 septembre mais il démissionne dès le 23 octobre après avoir dénoncé l'indiscipline et les exactions commises par ses troupes[225]. Ce dernier quitte L'Île-d'Yeu le 18 novembre pour regagner la Grande-Bretagne[281],[278]. Dans la Sarthe, ce sont les fermiers aisés et leurs alliés qui se soulèvent, alors que les ruraux dépendants des villes et leurs voisins tisserands représentent le fer de lance de l'insurrection dans les Mauges. René Souchu est capturé et décapité à la hache[76]. Forts de près de 10 000 hommes, les Vendéens attaquent Challans le 6 juin, mais ils sont repoussés par la garnison, qui ne compte pourtant que quelques centaines d'hommes[218]. Article 14 : Les biens des Rebelles de la Vendée sont déclarés appartenir à la République ; il en sera distrait une portion pour indemniser les citoyens qui seront demeurés fidèles à la patrie des pertes qu'ils auraient souffertes. Cette identité est un outil de mobilisation sociale mais aussi un instrument politique contemporain. Seul le prince de Talmont traverse la Loire avec 4 000 hommes pour s'emparer de Varades et assurer à l'armée une retraite vers la Bretagne en cas de défaite. Seuls resteront en pays dissident de modestes prêtres qui s'intégreront à l'armée paysanne sans jamais participer aux batailles », Guerre des Vendéens et des Chouans Tome 2. Le 26 décembre, le Directoire lui donne le commandement de l'Armée de l'Ouest, de l'Armée des côtes de Brest et de l'Armée des côtes de Cherbourg qui fusionnent pour former l'Armée des côtes de l'Océan[287],[283]. Michel Vovelle, « L'historiographie de la Révolution Française à la veille du bicentenaire », Max Gallo, « Guerre civile oui, génocide non ! Le royalisme y semble peu profond, comme dans le Midi en 1791-1792, et les haines personnelles et locales jouent un rôle important, avec des oppositions entre communes voisines ; dans la majorité des cas, les soulèvements commencent par « des règlements de compte, des chasses aux révolutionnaires et le pillage ». La fin de la Virée de Galerne marque le début d'une politique de représailles sanglantes. » Rapidement, une épidémie de typhus éclate dans les prisons de Nantes, elle tue 3 000 détenus[152],[153],[154],[155], dont 2 000 dans l'entrepôt[156], ainsi que des gardiens et des médecins et menace de s'étendre à la ville. Mais le 20 février, celui-ci fait connaître son refus[314],[283]. Patrice Gueniffey, dans son ouvrage La politique de la Terreur. Voir P. Mann, « Les insurrections paysannes de l'Ouest: Vendée et chouannerie ». La Rochejacquelein conduit alors ses troupes sur La Flèche, dont il s'empare le 8 avant de repousser la contre-attaque de Westermann. Le 14 avril, les républicains atteignent le bourg de Saint-Gervais et repoussent le lendemain une nouvelle attaque des forces de Charette et Joly[72]. Condamné à mort, il est fusillé à Angers le 25 février[313],[312],[309]. À la suite de ces échecs, Canclaux donne l'ordre de repli général sur Nantes, Clisson est évacuée et incendiée. Jacques Hussenet estime également qu'au regard du nombre total de soldats engagés (130 000 à 150 000), le nombre de victimes militaires ne peut être supérieur à 50 000 morts ou disparus[4]. » publié dans le n° 78 de L'Histoire a suscité un important courrier. Le fait de vouloir éliminer les blancs mais aussi les bleus (Les républicains) fera dire à Gracchus Babeuf (Dans son livre publié en 1795 La guerre de la Vendée et le système de dépopulation) que l’objectif de la Convention nationale était de réduire le quart de … Cinq jours après, il explique, dans une lettre à son ami Bodson : « Je confesse aujourd'hui de bonne foi que je m'en veux d'avoir autrefois vu en noir et le Gouvernement révolutionnaire, et Robespierre, et Saint-Just », justifiant même la mort de Hébert et de Chaumette (« Le salut de vingt-cinq millions d'hommes ne doit point être balancé contre le ménagement de quelques individus équivoques »)[377]. À la mi-février, avec l'accord de Hoche, des tractations sont menées avec Charette pour lui proposer de quitter la France[314],[283]. En 1794, sous la Convention thermidorienne, Babeuf publie un livre, Du système de dépopulation ou La vie et les crimes de Carrier, dans lequel il dénonce les exactions commises par Jean-Baptiste Carrier lors de sa mission à Nantes, dont il affirme (dans le paragraphe IV) qu'elles renvoient à un système de dépopulation qu'il nomme « populicide »[364], néologisme qui est créé pour évoquer une idée inédite. Ce secteur fertile dans l'ouest de la France est en effet demeuré pratiquement inhabité pendant 25 années »[384]. Blessé, il tente de se cacher des colonnes républicaines en trouvant refuge au Val de Morière, à Touvois, avec les quelques centaines d'hommes qui lui reste. L'armée d'Anjou de Stofflet et l'armée du Centre de Sapinaud ne rompent quant à elles pas le traité[262],[263]. Quant aux chouans d'Ille-et-Vilaine, ils sont recrutés essentiellement parmi les métayers et leurs proches. À Neuvy et au Pin, les communes se ferment autour des élites traditionnelles (qui acquièrent peu de biens nationaux) face aux réformes qui menacent la communauté. Il est possible que ce bilan puisse dériver du mémoire rédigé quelques semaines auparavant par le conventionnel Lequinio[345]. En tout état de cause, juridiquement, le nombre de victimes ne change pas la nature du crime, seules la nature des actes, l'intention et les moyens comptent[363]. Guerre de Vendée : crimes ou génocide ? Partis du sud, les 11 000 hommes de la colonne de Niort, commandée par Chalbos et Westermann battent les forces de Lescure, La Rochejaquelein et Stofflet le 9 octobre et s'emparent de Châtillon. Le 28 janvier 2000, en conclusion du Stockholm International Forum of the Holocaust, Michael Naumann, délégué du Gouvernement fédéral allemand à la culture et aux médias de 1998 à 2000 et ancien rédacteur en chef de Die Zeit, affirme : « Le terme français "populicide" a été parfois employé avant que le terme de "génocide" ait été inventé. Le 8 février, désormais à la tête de 4 000 à 7 000 Vendéens, il attaque Cholet. S'étalant de 1793 à 1796, la guerre de Vendée a fait entre 100 000 et 200 000 victimes, dont beaucoup de civils. La société vendéenne est assez bien représentée, à l’exception des prêtres et des nobles[342]. Après une halte aux îles d'Houat et de Hœdic[275], elle arrive le 23 septembre en vue de l'île de Noirmoutier, où elle songe à débarquer[276]. Le 20 novembre, l'armée républicaine lance alors une attaque générale sur Dol. Craignant que de nombreux agents royalistes se trouvent dans leurs rangs, les représentants en mission Francastel, Garrau et Hentz prennent un arrêté, le 20 février 1794, les éloignant de vingt lieues (80 km) de la zone des combats sous peine d'être considérés comme rebelles et traités comme tels. Ne pouvant traverser le fleuve, les prisonniers sont relâchés tandis que le général Bonchamps meurt quelques heures plus tard, des suites de ses blessures[122]. Cette décision prive le clergé catholique des moyens financiers lui permettant de remplir son rôle traditionnel d'assistance à une population pauvre. Claude Langlois, « Les héros quasi mythiques de la Vendée ou les dérives de l'imaginaire Â», in F. Lebrun, 1987, pp. On en retrouve des éléments dans le chapitre rédigé par A. Gérard (Poussou 2). Alors que les troupes de Bonchamps livrent des combats sans résultat aux abords d'Angers, le reste de l'armée mené par d'Elbée tente une attaque au sud sur Luçon afin de repousser une incursion des républicains du général Tuncq qui ont brûlé Chantonnay. Avant la Révolution, gérés par le clergé, ils étaient au service des communautés rurales. C’est là qu’il faut frapper »[413]. Les républicains repoussent ensuite une contre-attaque des troupes de Joly devant Saint-Gilles le 10, puis prennent Saint-Hilaire-de-Riez le 11 et entrent dans Challans, abandonnée par les insurgés, le 12[71]. En février 2018, Emmanuelle Ménard et Marie-France Lorho, députées d'extrême droite, déposent une proposition de loi visant à la reconnaissance officielle comme crimes de guerre, crimes contre l’humanité et génocide les exactions commises en Vendée entre 1793 et 1794[399],[400]. Claude Petitfrère voit dans ce renouvellement la marque d'une troisième catégorie d'auteurs, autour de Paul Bois, Marcel Faucheux et Charles Tilly, qu'il appelle l'histoire « scientifique »[5]. Dans le semaines qui suivent Travot continue de traquer inlassablement le général vendéen dans la région[316]. Son plan, bien loin de mettre fin à la guerre, pousse en réalité de plus en plus les paysans à rejoindre les insurgés. Il se lance à sa poursuite et le retrouve à Froidfond le 27 février, où il lui inflige une nouvelle déroute[316]. La façon dont la question de la Guerre de Vendée a été réglée suscite de nombreuses interrogations dans le monde de l’historiographie et même dans le monde politique, peut-on parler d’un « génocide vendéen » ? Dans le Maine-et-Loire, Henri Menuau n'arrive pas à faire préciser ce qui doit être détruit en « Vendée » »[416]. D'autres régions de France ont vu le développement d'insurrections (royalistes ou fédéralistes) contre la Convention en 1793. enfin, il ne tient aucun compte des morts non vendéennes, pourtant importantes. Elle fait ensuite marche sur Angers, dernière place forte avant la Vendée. S’étalant de 1793 à 1796, la guerre de Vendée a fait entre 100 000 et 200 000 victimes, dont beaucoup de civils. Dès fin mars, l'insurrection est matée en Bretagne par les colonnes des généraux Canclaux et Beysser[58]. Le 8 novembre, Haxo sort de Nantes avec 8 000 hommes[131]. Le traité provoque la division du camp royaliste[235]. Génocide ? D'autres insurrections ont scandé l'histoire de la Vendée, qu'il s'agisse du soulèvement de 1815 ou de la tentative de la duchesse de Berry en 1832, marquant la naissance d'une conscience régionale spécifique. Essai d’un bilan historiographique », Guy Lemarchand, professeur à l'université de Rouen, distingue les différentes écoles historiques qui ont analysé la Révolution française, expliquant : « Très minoritaire apparaît maintenant le courant d’origine légitimiste, ultra conservateur, autrefois de teinture royaliste, qui s’est fixé sur son terrain de prédilection dans les années 1980 : le « génocide » de la Vendée. Pour résumer en quelques mots les événements vendéens de 1793 disons que la Convention Nationale (assemblée constituante de la Première République) ordonna deux mesures majeures qui entrainèrent une révolte de l’Ouest. Alors qu'au nord de la Loire l'insurrection contre la levée en masse est matée dès mars 1793, au sud du fleuve les insurgés prennent l'avantage sur les troupes républicaines et s'organisent en « armée catholique et royale » à l'intérieur du territoire qu'ils contrôlent ; ces guerres opposent deux armées encadrées. D'après leurs résultats, on compte 50 000 morts pour le Maine-et-Loire, 49 677 pour la Loire-Atlantique, 50 000 pour la Vendée et 15 000 à 33 363 pour les Deux-Sèvres. Le 4 mars, Stofflet et l'abbé Bernier publient une adresse contre les « ci-devant chefs de la Vendée devenus républicains »[239],[240]. Le 10 décembre, la ville est prise après un court combat[123]. De son côté, le chef vendéen Charette s'établit à Legé après sa débâcle à Machecoul[95]. Plus grave, en janvier 1791 dans la commune de Saint-Christophe-du-Ligneron (au sud de Nantes, près de Machecoul), des conflits se développent autour de l'opposition à la constitution civile du clergé, et l'intervention des gardes nationales chargées du maintien de l'ordre provoque les premiers morts de la Vendée ; mais le conflit ne dégénère pas[21]. En face, l'armée d'Anjou ne peut rassembler que 3 000 combattants[245]. [29] In October 1793, in order to punish the Vendean prisoners taken after the failure of the siege of Nantes, Jean-Baptiste Carrier ordered them to be shot en masse. Plus du tiers des départements français accueillent ainsi des réfugiés[340]. Paris: Éditions Perrin 2017. Le débat a été ouvert à la fin du XXe siècle, le siècle des génocides. Il atteint ensuite Palluau dans la nuit du 30 avril au 1er mai[94]. ", Markoff, John. Les 10 et 11 mars, l'insurrection devient générale[31],[32]. The popular historiographyof the War in the Vendée is deeply rooted in conflicts between different schools of French historiography, and, as a result, writings on the uprising are generally highly partisan, coming down strongly in support of the revolutionary government or the Vendéen royalists. Après avoir protégé les côtes des Britanniques, Hoche met ses troupes en mouvement contre Charette[296],[286]. Autre rescapé de la Virée de Galerne, Gaspard de Bernard de Marigny forme une nouvelle armée dans la Gâtine. En juin, les effectifs de l'Armée de l'Ouest ne sont plus que de 50 000 hommes, contre 100 000 en janvier[215]. The next day the Vendean Royalists withdrew toward Mortagne-sur-Sèvre. Guerre de Vendée : "Il n'est pas possible de parler de 'génocide'" Dans un ouvrage consacré aux guerres de Vendée, Patrick Buisson relance la thèse du "génocide vendéen". En fait, les origines de cette guerre menée essentiellement par des paysans sont plus complexes et difficiles à démêler. Bien que défendue par 3 000 hommes, la ville est prise, le général Caffin est blessé et le général Moulin se suicide. Si des communautés résistent, leurs cheptels sont confisqués et ne sont restitués qu'en échange de la remise des armes[289]. De plus, le général Quétineau occupe Bressuire plus au sud avec 3 000 gardes nationaux[68]. De l'automne 1793 au printemps 1794, les armées républicaines ont renoué avec une tactique de massacres et de destructions qui n'avait plus été observée en Europe depuis la guerre de Trente Ans[204],[205]. Charette établit son nouveau quartier-général à Belleville[219]. Le 3 octobre, la flotte britannique fait une nouvelle tentative sur Noirmoutier, mais sans plus de succès[280]. Au nord, Bonchamps recule devant les forces de Gauvilliers et se replie sur la même ville. The Vendean leader Lescure was seriously injured in the fighting. La consigne est de passer au fil de la baïonnette tous les rebelles « trouvés les armes à la main, ou convaincus de les avoir prises, » ainsi que « les filles, femmes et enfants qui seront dans ce cas. Le 11 janvier 1795, un accord est trouvé pour engager des pourparlers officiels[231]. Enfin, l'alphabétisation y est plutôt faible, par rapport au nord et à l'est du pays, avec 10 à 20 % des conjoints sachant signer leur nom[17]. Première mesure : l’obligation des prêtres à prêter serment à la Constitution civile du clergé. Le 13, Carnot somme Turreau de « réparer ses fautes », de mettre fin à sa tactique de dissémination des troupes, d'attaquer en masse et d'exterminer enfin les rebelles[184] : « Il faut tuer les brigands et non pas brûler les fermes »[185]. Arrivés au nord du fleuve, les Vendéens font mouvement sur Laval, repoussant aisément les garnisons locales et les gardes nationaux hâtivement rassemblés par les autorités. Most importantly, however, Secher broke with conventional assessments by asserting on the basis of minimal evidence, Tilly claims, that the pre-revolutionary Vendée was more prosperous than the rest of France (to better emphasize the devastation of the war and the repression). Jean-Baptiste Kléber, Mémoires politiques et militaires. Les royalistes sont devant la ville le 3 décembre mais ils ne parviennent pas à venir à bout de ses 4 000 défenseurs. La guerre de Vendée est une guerre civile qui opposa pendant la Révolution française, dans l'Ouest de la France, les républicains (surnommés les « bleus ») aux royalistes (les « blancs ») entre 1793 et 1796, avec d'ultimes sursauts en 1799, 1815 et 1832. Le 22 avril 1794, Charette, Stofflet, Sapinaud et Marigny se réunissent au château de La Boulaye, à Châtillon-sur-Sèvre. Le 26 mars, Stofflet signe un cessez-le-feu à Cerizay[247]. Le comité de salut public envoie également à l'armée de l'Ouest Jean-Baptiste Carrier, pour compléter le rétablissement de l'ordre. Il propose de protéger les côtes des Anglais, d'encercler et de quadriller le territoire insurgé en utilisant des camps fortifiés comme points d'appui, de gagner la confiance des habitants et enfin de n'attaquer que les rassemblements des rebelles. Their attempts to take the city were unsuccessful. [49], Under orders from the Committee of Public Safety in February 1794, the Republican forces launched their final "pacification" effort (named Vendée-Vengé or "Vendée Avenged"): twelve infernal columns under Louis Marie Turreau, marched through the Vendée. L'histoire officielle a longtemps désigné la guerre de Vendée comme le foyer principal d'une contre-Révolution royaliste et catholique, dévouée au roi et aux prêtres réfractaires. Le clergé réfractaire vendéen commence alors à se démarquer de l'insurrection et à œuvrer en faveur de la pacification[292],[271],[291]. "Peasant Grievances and Peasant Insurrection: France in 1789,", Tackett, Timothy. Les deux chefs ne parviennent pas à s'entendre, et Charette rebrousse chemin vers le Marais. Manquant d'embarcations, les Vendéens poursuivent néanmoins la traversée jusqu'au lendemain où des chaloupes canonnières républicaines venues de Nantes coulent les bateaux. The Republicans there were taken from behind by the cavalry under Charles de Bonchamps, which had crossed the river at a ford. N'étant plus menacées par l'armée des Sables, les forces vendéennes de Charette, La Cathelinière et Vrignault réunissent 12 000 à 15 000 hommes à Legé et partent à l'assaut de Machecoul le 10 juin[101],[102]. Les Vendéens parviennent à tenir à distance les garnisons républicaines locales et du 10 au 12 août, les Britanniques débarquent 1 200 fusils, de la poudre, 3 000 sabres, 300 paires de pistolets, 700 gargousses et deux pièces d'artillerie[270],[271],[272],[263]. ». On 15 July, Claude Sandoz and a garrison of 800 had repulsed 5,000 insurgents led by d'Elbee; on 28 July, Tuncq drove off a second attempt; two weeks later, Tuncq and his 5,000 men routed 30,000 insurgents under the personal command of François de Charette.[35]. L’étude du phénomène des réfugiés est encore très récente. Par Jocegaly dans Réseau International. Treaties were concluded at La Jaunaye (15 February 1795) and at La Mabillaie, and were fairly well observed by the Vendeans; no obstacle remained but the feeble and scattered remnant of the Vendeans still under arms and the Chouans. Le 6 mars, les Angevins pillent le quartier-général de Sapinaud à Beaurepaire, emportant ses deux canons, 60 chevaux et la caisse militaire[241],[239]. Victorieux, Chalbos reprend La Châtaigneraie, mais il l'abandonne le 24 mai lorsque l'Armée catholique et royale, reformée dans le bocage et désormais forte de plus de 30 000 hommes, revient le 25 devant Fontenay-le-Comte pour se venger de sa défaite. Sur ordre de Canclaux, Legé est alors évacuée le 9 mai et est réinvestie le soir même par Charette[96],[97].

Configuration Modem Huawei Hg532e Djaweb Pdf, Petit Morceau Rick Et Morty, Distance Tunis Kairouan, Jean-françois Piège Recette, South Park Saison 23 Netflix, Trek Jura 5 Jours, Centre La Cartoucherie, Calcul Itinéraire En Camping Car, Meteo Satellite Corfou, Gibran Khalil Gibran Livres Pdf,